Le pillage et les attaques des manifestants sur les stations-services ont engendré de lourdes conséquences. Une pénurie d'essence et de gasoil depuis quelques jours est observée dans la région de Dakar. En effet, une descente de Dakaractu aux environs de liberté 5 a permis de constater le calvaire des automobilistes et motocyclistes après les manifestations.
La quête de ce liquide devenu précieux du coup, a entraîné de longues files d'attente sur les rares stations-services encore opérationnelles. Les personnes rencontrées sur place ont confessé leur martyr au reporter de Dakaractu.
Ainsi, si certains motocyclistes ont garé leurs engins par manque d'essence, les automobilistes eux sont obligés de sillonner les alentours à la quête d’une station service. Par ailleurs, si nombre de chauffeurs de taxi sont obligés d'immobiliser leurs outils de travail pour défaut de carburant, certains préfèrent les longues files d'attente pour ne pas voir leur seule source de revenu tarir.
En temps normal, les chauffeurs de taxi et de clando profitaient de la nuit pour s’approvisionner en carburant, mais à cause du couvre-feu et le nombre de stations détruits et saccagés, il devient de plus en plus ardus pour ces derniers ainsi qu’aux personnes rencontrées de vaquer à leurs occupations décemment.
La quête de ce liquide devenu précieux du coup, a entraîné de longues files d'attente sur les rares stations-services encore opérationnelles. Les personnes rencontrées sur place ont confessé leur martyr au reporter de Dakaractu.
Ainsi, si certains motocyclistes ont garé leurs engins par manque d'essence, les automobilistes eux sont obligés de sillonner les alentours à la quête d’une station service. Par ailleurs, si nombre de chauffeurs de taxi sont obligés d'immobiliser leurs outils de travail pour défaut de carburant, certains préfèrent les longues files d'attente pour ne pas voir leur seule source de revenu tarir.
En temps normal, les chauffeurs de taxi et de clando profitaient de la nuit pour s’approvisionner en carburant, mais à cause du couvre-feu et le nombre de stations détruits et saccagés, il devient de plus en plus ardus pour ces derniers ainsi qu’aux personnes rencontrées de vaquer à leurs occupations décemment.