Qui est également ce Bibo Bourgi ?
Un sénégalais, Oui ! Et certainement sans aucun doute possible!
Ordinaire ? Oui et Non !
Ordinaire, Oui !Parcequ’au-delà de certaines irrecevables considérations d’origine, la carte d’identité sénégalaise, n’a pas plus ou moins, de valeur juridique, que celle de tout autre sénégalais, même voleur de chèvre ou de poule.Tout au moins et en principe, devant la loi qui, pour demeurer légitime, doit toujours rester la même pour tous.
Mais Non ! Certainement ! Car ce monsieur, pour une raison d’Etat (présumé complice de détournement de sommes publiques faramineuses), doit faire face à Notre Justice, a travers une juridiction logiquement et légitimement non ordinaire, parce que devant traiter d’une affaire tout aussi non ordinaire.
Non ! Egalement ! Car, sans cela, on ne pourrait comprendre l’attitude de certains de ses avocats et de certains « droits de l’hommistes », qui exigent son évacuation en France, pour dit-on, lui sauver la vie !Tous ces messieurs, péremptoirement et en définitive, consciemment ou inconsciemment, se payent nos têtes, à nous autres, leurs compatriotes.
Que font-ils donc, en dehors des droits civils, des autres droits de l’homme, en l’occurrence, les droits économiques, sociaux et culturels ?
En effet, combien y’a-t-il tous les jours, des sénégalais obligés pour différentes raisons, de rester et de se faire soigner au Sénégal, pour y guérir ou y succomber de leur mal ?
En quoi, Monsieur Bourgi devrait-il, bénéficier d’un traitement de faveur, si ce n’est parce qu’il a le pouvoir d’avoir à sa disposition une troupe de fantassins et de sous-officiersdu droit, capables de développer en sa faveur, des arguments et des arguties juridiques ou pseudo juridiques ou humanistes. Et faire pression ainsi sur notre système judiciaire et arriverpeut-être à vaincre sans avoir raison, comme dirait l’autre.
Pour quelles raisons avouables, Bibo Bourgi doit-il pouvoir, hic et nunc, aller se faire soigner en France, même si les juges en charge de son dossier ne l’estime pas nécessaire, avec arguments a l’appui ?Combien de sénégalais, même tout aussi malades que lui, sont obligés de rester au pays, parce que l’Intérêt Général, à travers des procédures judiciaires, l’exige ?
Pourquoi dès lors, Bourgi ! Bourgi ! Bourgi ? Et il n’y en a plus que pour lui et pour lui tout seul !
Arrêtez Messieurs votre cirque, qui en définitive, finira inéluctablement par ressembler à de la mauvaise foi ou à un manque de respect notoire, pour nous autres sénégalais ordinaires.
Vivement que la Dignité de l’homo-senegalensis finisse par triompher dans cette nébuleuse affaire d’Etat. Etre détenteur de la nationalité d’un pays, doit garder tout son sens, aussi bien dans le plaisir que dans la douleur !
El hadji NGOM alias Lat. Déguène THIARE
Dakar le 27/08/2014
Un sénégalais, Oui ! Et certainement sans aucun doute possible!
Ordinaire ? Oui et Non !
Ordinaire, Oui !Parcequ’au-delà de certaines irrecevables considérations d’origine, la carte d’identité sénégalaise, n’a pas plus ou moins, de valeur juridique, que celle de tout autre sénégalais, même voleur de chèvre ou de poule.Tout au moins et en principe, devant la loi qui, pour demeurer légitime, doit toujours rester la même pour tous.
Mais Non ! Certainement ! Car ce monsieur, pour une raison d’Etat (présumé complice de détournement de sommes publiques faramineuses), doit faire face à Notre Justice, a travers une juridiction logiquement et légitimement non ordinaire, parce que devant traiter d’une affaire tout aussi non ordinaire.
Non ! Egalement ! Car, sans cela, on ne pourrait comprendre l’attitude de certains de ses avocats et de certains « droits de l’hommistes », qui exigent son évacuation en France, pour dit-on, lui sauver la vie !Tous ces messieurs, péremptoirement et en définitive, consciemment ou inconsciemment, se payent nos têtes, à nous autres, leurs compatriotes.
Que font-ils donc, en dehors des droits civils, des autres droits de l’homme, en l’occurrence, les droits économiques, sociaux et culturels ?
En effet, combien y’a-t-il tous les jours, des sénégalais obligés pour différentes raisons, de rester et de se faire soigner au Sénégal, pour y guérir ou y succomber de leur mal ?
En quoi, Monsieur Bourgi devrait-il, bénéficier d’un traitement de faveur, si ce n’est parce qu’il a le pouvoir d’avoir à sa disposition une troupe de fantassins et de sous-officiersdu droit, capables de développer en sa faveur, des arguments et des arguties juridiques ou pseudo juridiques ou humanistes. Et faire pression ainsi sur notre système judiciaire et arriverpeut-être à vaincre sans avoir raison, comme dirait l’autre.
Pour quelles raisons avouables, Bibo Bourgi doit-il pouvoir, hic et nunc, aller se faire soigner en France, même si les juges en charge de son dossier ne l’estime pas nécessaire, avec arguments a l’appui ?Combien de sénégalais, même tout aussi malades que lui, sont obligés de rester au pays, parce que l’Intérêt Général, à travers des procédures judiciaires, l’exige ?
Pourquoi dès lors, Bourgi ! Bourgi ! Bourgi ? Et il n’y en a plus que pour lui et pour lui tout seul !
Arrêtez Messieurs votre cirque, qui en définitive, finira inéluctablement par ressembler à de la mauvaise foi ou à un manque de respect notoire, pour nous autres sénégalais ordinaires.
Vivement que la Dignité de l’homo-senegalensis finisse par triompher dans cette nébuleuse affaire d’Etat. Etre détenteur de la nationalité d’un pays, doit garder tout son sens, aussi bien dans le plaisir que dans la douleur !
El hadji NGOM alias Lat. Déguène THIARE
Dakar le 27/08/2014
Rencontre entre Diomaye et le secteur privé : Le démenti de l'union des commerçants à Dakaractu
