Notre camarade, depuis quelques temps, se voit sur un autre nuage. Il a le droit de traverser tous les nuages qui séparent la terre du ciel.
Nous lui concédons ce droit tout en lui rappelant que son nuage ne sera qu'imaginaire.
Nous lui conseillons en toute franche camaraderie de revenir sur terre car ce n'est pas demain que Khalifa Sall accèdera à la magistrature suprême.
Au lieu de continuer à vociférer contre sa propre nature, Bamba Fall doit relire les pages du parti socialiste écrites par son mentor.
Khalifa Sall a été de toutes les violations des textes fondamentaux du parti socialiste que dénonce le maire de la Médina.
Où était-il quand la direction du parti reportait le renouvellement de ses instances de 1996 à 2007?
Où était Khalifa quand Barth avait été coopté comme membre du bureau politique puis imposé come secrétaire général des jeunesses socialistes alors qu'il avait plus de 34 ans avec moins de 4 ans de militantisme?
Où était le maire de Dakar quand notre parti naviguait de coalition en coalition (CPC,CPA, JAMM JI, BSS et BBY) ?
Chargé des élections et ensuite de la vie du parti, Khalifa Sall est plus comptable que Ousmane Tanor Dieng dans la gestion décriée du parti socialiste.
Enfin où était le Camarade Khalifa Sall avant, pendant et après l'élection du SG du parti socialiste en 2014 qui avait démontré que son impartialité manquait de substance.
Le coup de Jarnac fait à Aïssata Tall Sall est toujours dans les esprits des militants ahuris par l'absence de toute autorité socialiste aux côtés de la camarade de Podor face à la toute puissance « apériste » pendant les locales de 2014.
Par ailleurs le parti socialiste doit maintenir sa plainte et faire confiance à la justice républicaine pour que toute la lumière soit faite sur les dégradations et les actes de vandalisme survenus au siège au mois de mars dernier.
Le parti socialiste ne cultive ni la violence ni l'anarchie. Ce n'est pas sa culture. Encore moins sa vocation et l'impunité est étrangère à ses valeurs.
Ainsi dirons-nous au camarade Bamba Fall que la procédure ira à son terme. Contre vents et marées .
La majorité des camarades pensait à Khalifa Sall comme potentiel futur candidat dès que Ousmane Tanor Dieng avait déclaré qu'il n'envisageait pas de se représenter à la future présidentielle.
Que nenni !
Le maire de Dakar était resté insensible et muet face aux appels sincères des militants
Il se dérobait dès que la question de sa candidature était abordée en public comme en privé. Ceci a fini d'agacer les militants soucieux de la reconquête du pouvoir par le parti socialiste.
Quand nous parlions de la soviétisation achevée du parti et quand nous décriions le centralisme et les cooptations nébuleuses de certains camarades au bureau politique et au secrétariat exécutif, nous adressions un message fort Khalifa Sall qui par manque de courage politique n'avait pas pipé mot.
Quand la direction du parti nous engageait dans la coalition BBY, Khalifa Sall n'avait point jugé nécessaire de tenir compte des idées et des propositions des camarades qui n'étaient pas favorables au compagnonnage avec les libéraux.
Au contraire il vulgarisait le slogan "gouverner ensemble après avoir combattu et gagné ensemble".
Nous sommes aujourd'hui comptables du bilan du Président Macky Sall dans toute sa totalité et nous devons aller jusqu'à son terme pour être positivement ou négativement sanctionnés par le peuple sénégalais.
C'est cela la constance, l'objectivité et le courage. Assumons nos responsabilités et respectons notre parole donnée librement devant le peuple sénégalais qui ne demande qu'à vivre et travailler dans la sérénité et la concorde.
Le moment venu nous ferons l'évaluation sans complaisance de notre compagnonnage avec les partis membres de BBY.
Les générations futures apprécieront.
Pour l'heure, force est de reconnaître que le parti socialiste doit son existence en général à BBY et en particulier à l'APR dans des localités comme Kanel et Matam-Ville.
Si le parti socialiste va seul aux prochaines législatives, nous nous rendrions vite compte de la faiblesse de nos forces dans ces localités quasi abandonnées par les "responsables" qui ont fini de sevrer les militants de leur présence.
Nous appelons le camarade Bamba Fall à faire preuve de sagesse et surtout à lire attentivement la sociologie politique du Sénégal des profondeurs.
C'est cela le réalisme et l'évidence politiques.
Nous lui concédons ce droit tout en lui rappelant que son nuage ne sera qu'imaginaire.
Nous lui conseillons en toute franche camaraderie de revenir sur terre car ce n'est pas demain que Khalifa Sall accèdera à la magistrature suprême.
Au lieu de continuer à vociférer contre sa propre nature, Bamba Fall doit relire les pages du parti socialiste écrites par son mentor.
Khalifa Sall a été de toutes les violations des textes fondamentaux du parti socialiste que dénonce le maire de la Médina.
Où était-il quand la direction du parti reportait le renouvellement de ses instances de 1996 à 2007?
Où était Khalifa quand Barth avait été coopté comme membre du bureau politique puis imposé come secrétaire général des jeunesses socialistes alors qu'il avait plus de 34 ans avec moins de 4 ans de militantisme?
Où était le maire de Dakar quand notre parti naviguait de coalition en coalition (CPC,CPA, JAMM JI, BSS et BBY) ?
Chargé des élections et ensuite de la vie du parti, Khalifa Sall est plus comptable que Ousmane Tanor Dieng dans la gestion décriée du parti socialiste.
Enfin où était le Camarade Khalifa Sall avant, pendant et après l'élection du SG du parti socialiste en 2014 qui avait démontré que son impartialité manquait de substance.
Le coup de Jarnac fait à Aïssata Tall Sall est toujours dans les esprits des militants ahuris par l'absence de toute autorité socialiste aux côtés de la camarade de Podor face à la toute puissance « apériste » pendant les locales de 2014.
Par ailleurs le parti socialiste doit maintenir sa plainte et faire confiance à la justice républicaine pour que toute la lumière soit faite sur les dégradations et les actes de vandalisme survenus au siège au mois de mars dernier.
Le parti socialiste ne cultive ni la violence ni l'anarchie. Ce n'est pas sa culture. Encore moins sa vocation et l'impunité est étrangère à ses valeurs.
Ainsi dirons-nous au camarade Bamba Fall que la procédure ira à son terme. Contre vents et marées .
La majorité des camarades pensait à Khalifa Sall comme potentiel futur candidat dès que Ousmane Tanor Dieng avait déclaré qu'il n'envisageait pas de se représenter à la future présidentielle.
Que nenni !
Le maire de Dakar était resté insensible et muet face aux appels sincères des militants
Il se dérobait dès que la question de sa candidature était abordée en public comme en privé. Ceci a fini d'agacer les militants soucieux de la reconquête du pouvoir par le parti socialiste.
Quand nous parlions de la soviétisation achevée du parti et quand nous décriions le centralisme et les cooptations nébuleuses de certains camarades au bureau politique et au secrétariat exécutif, nous adressions un message fort Khalifa Sall qui par manque de courage politique n'avait pas pipé mot.
Quand la direction du parti nous engageait dans la coalition BBY, Khalifa Sall n'avait point jugé nécessaire de tenir compte des idées et des propositions des camarades qui n'étaient pas favorables au compagnonnage avec les libéraux.
Au contraire il vulgarisait le slogan "gouverner ensemble après avoir combattu et gagné ensemble".
Nous sommes aujourd'hui comptables du bilan du Président Macky Sall dans toute sa totalité et nous devons aller jusqu'à son terme pour être positivement ou négativement sanctionnés par le peuple sénégalais.
C'est cela la constance, l'objectivité et le courage. Assumons nos responsabilités et respectons notre parole donnée librement devant le peuple sénégalais qui ne demande qu'à vivre et travailler dans la sérénité et la concorde.
Le moment venu nous ferons l'évaluation sans complaisance de notre compagnonnage avec les partis membres de BBY.
Les générations futures apprécieront.
Pour l'heure, force est de reconnaître que le parti socialiste doit son existence en général à BBY et en particulier à l'APR dans des localités comme Kanel et Matam-Ville.
Si le parti socialiste va seul aux prochaines législatives, nous nous rendrions vite compte de la faiblesse de nos forces dans ces localités quasi abandonnées par les "responsables" qui ont fini de sevrer les militants de leur présence.
Nous appelons le camarade Bamba Fall à faire preuve de sagesse et surtout à lire attentivement la sociologie politique du Sénégal des profondeurs.
C'est cela le réalisme et l'évidence politiques.
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