L’ensemble des jeunesses républicaines de Yoff, dans une note qui nous a été transmise s’indigne « de cette attaque injustifiée et téléguidée d’un groupuscule de jeunes ambitieux, pressés et manipulés par des personnes tapies dans l’ombre. Ces personnes n’ont pour seul agenda que d’essayer de torpiller les efforts et le travail remarquable de Monsieur Abdoulaye Diouf Sarr. » La jeunesse républicaine de Yoff de remercier et féliciter le Maire Abdoulaye Diouf SARR pour l’ensemble de ses réalisations au profit de la commune de Yoff. "Avec un des plus beaux bilans de tous les maires de commune, en à peine deux ans, le Maire Abdoulaye Diouf SARR nous a offert le stade municipal de Yoff, le quai de pêche de Tonghor, la place de Ndieuw, la réfection des écoles de la commune avec la construction de nombreuses nouvelles classes, la place Mamadou DIOP et l’équipement de postes de santé pour ne citer que cela. On ne peut pas cacher le soleil avec la main. Les populations de Yoff jugent déjà par elles-mêmes." Abdoulaye Diouf SARR, ajoute la note, qui a fait honneur à son parti lors des dernières élections législatives en remportant haut la main la mairie, bénéficie d’une base affective et élective au sein de sa commune qui lui procure une légitimité sans commune mesure. « En politique, il vaut mieux être prophète chez soi avant d’essayer de l’être chez autrui. Comme le disent si bien les wolofs « kou wathie sa ande, ande bo déme féke fa borom ». Ceux qui sont incapables de se faire apprécier dans leur base politique devraient en prendre de la graine. La Cojer de Yoff demande aux responsables qui se cachent derrière ces jeunes de savoir donc raison garder. »
La jeunesse républicaine de Yoff, dans un souci de rassemblement à l’image de leur mentor, le Maire Abdoulaye Diouf SARR, appelle Monsieur Mansour Dia à la raison. « Nous lui disons de venir œuvrer pour un meilleur avenir pour Yoff au lieu de courir de façon éhontée, en échange d’espèces sonnantes et trébuchantes, derrière de pseudos mouvements, à la périphérie du parti, dirigés par des directeurs généraux incapables de gagner leur commune parce qu’impopulaires. »