La rupture brandie par le régime actuel souffre toujours de sa belle souffrance. Tellement que les dérapages se poursuivent de plus belle dans les Institutions. Figurez-vous qu’hier, lors de la séance plénière qui devait commencer à 9 heures s’est finalement tenue à partir de 11h 30 minutes du fait du retard de certains parlementaires.
Un comportement que le président de l’Assemblée nationale Moustapha Niasse n’a pas accepté. « Le ministre de la justice est arrivé à 9 heures et il attendu dans mon bureau pendant deux heures. Un décalage d’une demi heure est encore compréhensible, mais deux heures, croyez-moi ça doit faire l’objet d’une réflexion pour le bon fonctionnement de l’Institution » peste M Niasse.
C’est en vertu de l’article 62 du règlement intérieur que M Niasse a attiré l’attention des députés sur ce fait. Il a ajouté qu’il était obligé de faire appel à Moustapha Cissé Lô qui est arrivée en catastrophe pour qu’ils puissent atteindre le minimum de deux vice-présidents et enfin démarrer la séance après plus de deux heures d’attente.
Un comportement que le président de l’Assemblée nationale Moustapha Niasse n’a pas accepté. « Le ministre de la justice est arrivé à 9 heures et il attendu dans mon bureau pendant deux heures. Un décalage d’une demi heure est encore compréhensible, mais deux heures, croyez-moi ça doit faire l’objet d’une réflexion pour le bon fonctionnement de l’Institution » peste M Niasse.
C’est en vertu de l’article 62 du règlement intérieur que M Niasse a attiré l’attention des députés sur ce fait. Il a ajouté qu’il était obligé de faire appel à Moustapha Cissé Lô qui est arrivée en catastrophe pour qu’ils puissent atteindre le minimum de deux vice-présidents et enfin démarrer la séance après plus de deux heures d’attente.