Après la mise sous mandat de dépôt de Rachelle Sleylati et la mise sous contrôle judiciaire de son complice Alex Rabih Kfoury, DG de l’agence de communication Platinium, c’est au tour des parents de Rachelle Sleylati, André Sleylati et Marie-Jo Sleylati d'être désormais mis sous contrôle judiciaire.
Pour rappel, salariée de la société Batiplus, Rachelle Sleylati est accusée d’avoir détourné plus de 2 milliards de francs CFA au sein de l’entreprise. Elle a été placée depuis sous mandat de dépôt et l’enquête qui s’oriente désormais vers ses proches qu’elle dit avoir enrichi avec l’argent détourné.
Sa mère avait d’ailleurs proposé une transaction pour un remboursement à hauteur de 2 milliards contre renonciation de la plainte de Batiplus.
Dans ses aveux, Rachelle Sleylati avait confirmé remettre régulièrement des sommes d'argent et des cadeaux à ses parents sur une longue période en sus d'avoir financé les chantiers de son père. Elle a également acquis un patrimoine immobilier conséquent avec son fiancé Alex Rabih Kfoury aux frais d’autrui durant la période de son emploi qui n’a pas excédé deux ans.
Cest dire qu'il s'agit là d'une affaire qui prend l’allure d’une véritable association de malfaiteurs en bande organisée.
Pour rappel, salariée de la société Batiplus, Rachelle Sleylati est accusée d’avoir détourné plus de 2 milliards de francs CFA au sein de l’entreprise. Elle a été placée depuis sous mandat de dépôt et l’enquête qui s’oriente désormais vers ses proches qu’elle dit avoir enrichi avec l’argent détourné.
Sa mère avait d’ailleurs proposé une transaction pour un remboursement à hauteur de 2 milliards contre renonciation de la plainte de Batiplus.
Dans ses aveux, Rachelle Sleylati avait confirmé remettre régulièrement des sommes d'argent et des cadeaux à ses parents sur une longue période en sus d'avoir financé les chantiers de son père. Elle a également acquis un patrimoine immobilier conséquent avec son fiancé Alex Rabih Kfoury aux frais d’autrui durant la période de son emploi qui n’a pas excédé deux ans.
Cest dire qu'il s'agit là d'une affaire qui prend l’allure d’une véritable association de malfaiteurs en bande organisée.