Fustigeant la démarche du Cng qui, selon lui, traduit « un manque de considération » à son égard, Gaston Mbengue estime que le minimum aurait été de qu'il l'associe à l’événement pour avoir contribué largement au développement de cette discipline depuis 1992. « Il faut rendre à César ce qui appartient à César. Tous les grands champions de la lutte sont passés entre mes mains. Le ministre des Sports ne décide rien dans la lutte sans m’associer. Je pense que tous les promoteurs de la lutte devaient être associés à l’événement », dénonce le patron de Gaston Productions dans les colonnes du Quotidien.
Gaston Mbengue reproche à la structure dirigée par Alioune Sarr de n’avoir pas mis les formes quand il s’est agi de lui envoyer son carton d’invitation. « Ils sont passés par mon collaborateur, Max Mbargane. On ne m’invite pas comme ça », s’offusque-t-il. Il continue en qualifiant l’attitude affichée à son égard, par les organisateurs de la « Nuit de la lutte », de la « pire forme de violence ». Il souligne d'ailleurs que ses collègues promoteurs, qui ont brillé par leur absence à la dit soirée, sont en phase avec lui. « Pourquoi des promoteurs comme Luc Nicolai et Aziz Ndiaye n’y étaient pas ? Cela veut dire qu’il y a problème. C’est à ne rien y comprendre », peste le Don King de l’arène.
Le président du Ndiambour soutient être victime de jalousie vu les bons résultats qu’il a eu avec son club. « La lutte est malsaine. J’ai beaucoup d’ennemis. Les gens ont horreur de ceux qui réussissent. Je l’admets, c’est la rançon du succès », soutient-il.
Gaston Mbengue reproche à la structure dirigée par Alioune Sarr de n’avoir pas mis les formes quand il s’est agi de lui envoyer son carton d’invitation. « Ils sont passés par mon collaborateur, Max Mbargane. On ne m’invite pas comme ça », s’offusque-t-il. Il continue en qualifiant l’attitude affichée à son égard, par les organisateurs de la « Nuit de la lutte », de la « pire forme de violence ». Il souligne d'ailleurs que ses collègues promoteurs, qui ont brillé par leur absence à la dit soirée, sont en phase avec lui. « Pourquoi des promoteurs comme Luc Nicolai et Aziz Ndiaye n’y étaient pas ? Cela veut dire qu’il y a problème. C’est à ne rien y comprendre », peste le Don King de l’arène.
Le président du Ndiambour soutient être victime de jalousie vu les bons résultats qu’il a eu avec son club. « La lutte est malsaine. J’ai beaucoup d’ennemis. Les gens ont horreur de ceux qui réussissent. Je l’admets, c’est la rançon du succès », soutient-il.
Lutte : l’adversaire de Reug Reug connu
