Pour faire de Dakar une capitale propre, l’une des plus propres de l’Afrique, un atelier de partage du plan de restructuration du Programme de gestion des déchets solide urbain (Pgdsu) de Dakar s’est tenu ce jeudi 7 janvier 2016 à la place du souvenir.
Le ministre de la Gouvernance locale, du développement et de l’aménagement du territoire, Abdoulaye Diouf Sarr, a rendu compte du nouveau schéma opérationnel. «Si vous vous souvenez, après la prise en charge par L’Ucg (unité de coordination de la gestion des déchets solides), des grands chantiers de nettoiement de Dakar, il est d’abord question d’aller à une opération de mise à niveau.
Quand on dit une opération de mise à niveau, c’est une opération d’urgence, c’est à dire de rendre la capitale acceptable du point de vue de la propreté. Nous avons un objectif de propreté exhaustive. Nous voulons nécessairement que Dakar soit reconnu comme la capitale la plus propre. De ce point de vue, après l’opération de mise à niveau nous avons maintenant un nouveau dispositif opérationnel qui nous permet d’atteindre cet objectif”, déclare le ministre. “Notre approche est globale, la problématique de la gestion des déchets ne doit pas être une problématique simplement de collecte, mais une problématique de propreté et dans la propreté on met tout. Donc la question de prise en compte de gestion de déchet plastique intègre bien entendu l’ensemble de la propreté. A ce niveau, il y a une relation très étroite avec mon collègue de l’environnement et la structure de ramassage », a déclaré le ministre.
Selon le coordonnateur de l’Unité de coordination de la gestion des déchets solides (Ucg), Ibrahima Diagne, il y a une amélioration au niveau de l’environnement et du cadre de vie de Dakar.
Car, « depuis deux mois, nous avons la charge de gérer le programme de la gestion des déchets solides de la région. Nous avons entamé un programme de mise en niveau. Aujourd’hui, plus 230 km de voiries ont été déjà balayées et nettoyées pour débarrasser Dakar des déchets. C’est la première phase de l’édition. Pour la seconde phase, nous allons sur la mise en place du système durable, c'est-à-dire comprendre avant d’agir. Mais nous nettoyons avec beaucoup de difficulté, parce que qu’il y a beaucoup d’installation anarchique, des mécaniciens, des marchands ambulants qui produisent tous les jours des déchets. 60% de ménages sont couverts, il y a 40% des ménages de Dakar qui sont connectés via des charrettes. Nous allons trouver les voies et moyens pour articuler un autre système avec les comportements des populations», explique le coordonateur.
Le ministre de la Gouvernance locale, du développement et de l’aménagement du territoire, Abdoulaye Diouf Sarr, a rendu compte du nouveau schéma opérationnel. «Si vous vous souvenez, après la prise en charge par L’Ucg (unité de coordination de la gestion des déchets solides), des grands chantiers de nettoiement de Dakar, il est d’abord question d’aller à une opération de mise à niveau.
Quand on dit une opération de mise à niveau, c’est une opération d’urgence, c’est à dire de rendre la capitale acceptable du point de vue de la propreté. Nous avons un objectif de propreté exhaustive. Nous voulons nécessairement que Dakar soit reconnu comme la capitale la plus propre. De ce point de vue, après l’opération de mise à niveau nous avons maintenant un nouveau dispositif opérationnel qui nous permet d’atteindre cet objectif”, déclare le ministre. “Notre approche est globale, la problématique de la gestion des déchets ne doit pas être une problématique simplement de collecte, mais une problématique de propreté et dans la propreté on met tout. Donc la question de prise en compte de gestion de déchet plastique intègre bien entendu l’ensemble de la propreté. A ce niveau, il y a une relation très étroite avec mon collègue de l’environnement et la structure de ramassage », a déclaré le ministre.
Selon le coordonnateur de l’Unité de coordination de la gestion des déchets solides (Ucg), Ibrahima Diagne, il y a une amélioration au niveau de l’environnement et du cadre de vie de Dakar.
Car, « depuis deux mois, nous avons la charge de gérer le programme de la gestion des déchets solides de la région. Nous avons entamé un programme de mise en niveau. Aujourd’hui, plus 230 km de voiries ont été déjà balayées et nettoyées pour débarrasser Dakar des déchets. C’est la première phase de l’édition. Pour la seconde phase, nous allons sur la mise en place du système durable, c'est-à-dire comprendre avant d’agir. Mais nous nettoyons avec beaucoup de difficulté, parce que qu’il y a beaucoup d’installation anarchique, des mécaniciens, des marchands ambulants qui produisent tous les jours des déchets. 60% de ménages sont couverts, il y a 40% des ménages de Dakar qui sont connectés via des charrettes. Nous allons trouver les voies et moyens pour articuler un autre système avec les comportements des populations», explique le coordonateur.
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