Tout en lui rappelant que le Sénégal veut faire du tourisme un levier important pour son développement économique et social, qu’il est important en tant que Ministre qu’il comprenne et qu’il tienne compte des conditions et réalités socio-économiques, culturelles, organisationnelles et financières des entreprises touristiques sénégalaises.
Nous avons longtemps observé, étudié, analysé et décortiqué les tares du secteur privé touristique, et les manquements de la tutelle pour comprendre le retardde la destination Sénégal et sa faiblesse à faire corriger les écarts, afin d'arriver à une bonne gestion de la gouvernance touristique et de la démocratie interne au sein des organisations touristiques, qui concourent avec le pouvoir central au développement du secteur du tourisme.
Le secteur du tourisme sénégalais dispose d'un potentiel unanimement reconnu, qui en fait une destination privilégiée pour les touristes européens et ceux du reste du monde.
L'Agence Sénégalaise de Promotion Touristique (ASPT) et la Société d’Aménagement des Côtes et Zones Touristiques (SAPCO) sont des démembrements opérationnels de l'Etat qui servent la vision du Chef de l’Etat pour la mise en œuvre des grands projets du tourisme ainsi que la mise en séduction de la destination Sénégal sur les marchés émetteurs.
Aujourd'hui, le premier marché émetteur de touristes au Sénégal reste la France. L’ancienne puissance colonisatrice génère en effet près de 43% des arrivées. Elle est suivie par la Belgique (3,3%), l’Espagne (3%), l’Italie (2,3%).
Selon le rapport du cabinet Isdl/Attract, le "Sénégal est en volume la 35e destination privilégiée des Français, c'est-à-dire seulement 0,5% des départs internationaux depuis le territoire français, la 22e pour les Luxembourgeois, la 48e pour les Belges, la 59e pour les Espagnols, la 72e pour les Italiens et la 111e pour les Allemands". Notre challenge est de consolider notre position sur le marché français et à redynamiser les marchés espagnol, italien, belge et allemand" tout en positionnant le Sénégal sur les nouveaux marchés des BRICS (Brésil, Russie, Chine et Afrique du Sud) y compris les Emirats Arabe unis et le Qatar les deux nouvelles plaque tournante du golfe.
Compte tenu du partenariat dormantqui existe et qu'il faut redynamiser et entretenir entre les différentes structures, et de l’importance que revêt le programme du PSE dans les orientations du Président de la République, il est important de mettre l’accent sur la mise en séduction de nos atouts et potentialités, pour attirer des investisseurs dans une nouvelle approche innovation/qualité et compétences avec les Hommes qu’il faut.
Bien naturellement, en ma qualité de Président de l’Observatoire National pour le développement du tourisme au Sénégal, je ne saurais avoir de réserves sur les questions de politiques touristiques. C’est pourquoi Monsieur le Ministre,je vous saurais gré des dispositions qu’il vous plaira de prendre pour partager le volet tourisme du Plan Sénégal Émergent avec tous les acteurs, y compris les populations et d’aider à la restructuration des organisations patronales et autres syndicats, pour une meilleure implication de leur structure respective dans les débats, les concertations et les prises de décisions concernant la politique touristique.
Nous avons longtemps observé, étudié, analysé et décortiqué les tares du secteur privé touristique, et les manquements de la tutelle pour comprendre le retardde la destination Sénégal et sa faiblesse à faire corriger les écarts, afin d'arriver à une bonne gestion de la gouvernance touristique et de la démocratie interne au sein des organisations touristiques, qui concourent avec le pouvoir central au développement du secteur du tourisme.
Le secteur du tourisme sénégalais dispose d'un potentiel unanimement reconnu, qui en fait une destination privilégiée pour les touristes européens et ceux du reste du monde.
L'Agence Sénégalaise de Promotion Touristique (ASPT) et la Société d’Aménagement des Côtes et Zones Touristiques (SAPCO) sont des démembrements opérationnels de l'Etat qui servent la vision du Chef de l’Etat pour la mise en œuvre des grands projets du tourisme ainsi que la mise en séduction de la destination Sénégal sur les marchés émetteurs.
Aujourd'hui, le premier marché émetteur de touristes au Sénégal reste la France. L’ancienne puissance colonisatrice génère en effet près de 43% des arrivées. Elle est suivie par la Belgique (3,3%), l’Espagne (3%), l’Italie (2,3%).
Selon le rapport du cabinet Isdl/Attract, le "Sénégal est en volume la 35e destination privilégiée des Français, c'est-à-dire seulement 0,5% des départs internationaux depuis le territoire français, la 22e pour les Luxembourgeois, la 48e pour les Belges, la 59e pour les Espagnols, la 72e pour les Italiens et la 111e pour les Allemands". Notre challenge est de consolider notre position sur le marché français et à redynamiser les marchés espagnol, italien, belge et allemand" tout en positionnant le Sénégal sur les nouveaux marchés des BRICS (Brésil, Russie, Chine et Afrique du Sud) y compris les Emirats Arabe unis et le Qatar les deux nouvelles plaque tournante du golfe.
Compte tenu du partenariat dormantqui existe et qu'il faut redynamiser et entretenir entre les différentes structures, et de l’importance que revêt le programme du PSE dans les orientations du Président de la République, il est important de mettre l’accent sur la mise en séduction de nos atouts et potentialités, pour attirer des investisseurs dans une nouvelle approche innovation/qualité et compétences avec les Hommes qu’il faut.
Bien naturellement, en ma qualité de Président de l’Observatoire National pour le développement du tourisme au Sénégal, je ne saurais avoir de réserves sur les questions de politiques touristiques. C’est pourquoi Monsieur le Ministre,je vous saurais gré des dispositions qu’il vous plaira de prendre pour partager le volet tourisme du Plan Sénégal Émergent avec tous les acteurs, y compris les populations et d’aider à la restructuration des organisations patronales et autres syndicats, pour une meilleure implication de leur structure respective dans les débats, les concertations et les prises de décisions concernant la politique touristique.
Senghor, un patrimoine universel à ne pas marchander (Par Pierre Goudiaby Atepa)
