"107 écuries ont été dénombrées", a déclaré le président du CNG, invité de l’émission "Point de vue" de la télévision publique sénégalaise (RTS).
Commentant ce chiffre selon lui énorme, Dr Alioune Sarr a reconnu que la plupart des pensionnaires de ces entités ne pourront pas avoir de combats de lutte.
"Si des lutteurs arrivent à gagner de l’argent, la plupart des lutteurs n’ont pas forcément de combats et c’est un véritable problème", a dit le président du CNG.
Dr Alioune Sarr a donc émis le souhait de voir ces structures devenir des entités pour l'apprentissage de métiers, en plus de leur rôle sportif, afin de faire émerger des citoyens conscients de leurs droits et devoirs. "C’est regrettable que ces écuries ne forment que des lutteurs", a dit le président du CNG.
Plusieurs sponsors notamment des sociétés de téléphonie mobile ont décidé de tourner le dos à la lutte, ce qui fait craindre aux observateurs un reflux de cette discipline sportive qui est la plus médiatisée au Sénégal.
Commentant ce chiffre selon lui énorme, Dr Alioune Sarr a reconnu que la plupart des pensionnaires de ces entités ne pourront pas avoir de combats de lutte.
"Si des lutteurs arrivent à gagner de l’argent, la plupart des lutteurs n’ont pas forcément de combats et c’est un véritable problème", a dit le président du CNG.
Dr Alioune Sarr a donc émis le souhait de voir ces structures devenir des entités pour l'apprentissage de métiers, en plus de leur rôle sportif, afin de faire émerger des citoyens conscients de leurs droits et devoirs. "C’est regrettable que ces écuries ne forment que des lutteurs", a dit le président du CNG.
Plusieurs sponsors notamment des sociétés de téléphonie mobile ont décidé de tourner le dos à la lutte, ce qui fait craindre aux observateurs un reflux de cette discipline sportive qui est la plus médiatisée au Sénégal.
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