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10 choses intimes qu’une femme ne devrait pas garder 100% secrètes (et à qui en parler)

SETAL.NET-Concernant ta sexualité, il y a plein de choses que tu confies à ta meilleure amie car elle est toujours de bon conseil et resterait muette comme une carpe même sous la torture. Mais il y a aussi et surtout plein de choses que tu gardes pour toi, pensant être la seule à ressentir cela, avec un peu de honte. Eh bien tu as tort. Car voici 10 choses intimes qu’aucune femme ne devrait garder secrètes, jamais, et à qui les confier.


10 choses intimes qu’une femme ne devrait pas garder 100% secrètes (et à qui en parler)
 
1. Le nombre de tes partenaires sexuels
Tu as peur d’être jugée s’il y en a trop, peur d’être moquée s’il n’y en a pas. Il y a deux solutions : soit tu as une amie suffisamment sûre pour lui confier tes doutes sur ce sujet, soit tu n’en as pas. Auquel cas, si vraiment tu te sens mal à l’aise sur cette question, le mieux est de t’adresser à un psy. Il ou elle t’aidera alors à réaliser que le nombre de partenaires est une affaire personnelle.
Avec qui en parler : une (très) bonne amie ou un psy

2. Si tu as déjà couché sans capote, même une fois
Ok, tu as eu tes règles (voire même tu as fait un test de grossesse et tu n’es pas enceinte) MAIS au cas où tu l’aurais oublié, les préservatifs ne sont pas qu’un moyen de contraception. Ce sont avant tout des boucliers à MST. Aussi, parle de cet oubli de capote à ton généraliste ou ta gynéco afin de faire un test de dépistage sanguin.
Avec qui en parler : ta gynéco ou ton médecin

3. Si tu n’arrives pas à avoir d’orgasme
ce n'est pas honteux de ne pas réussir à jouir. D'ailleurs, d'après de nombreux sondages, seules 30% des femmes parviennent à l'orgasme vaginal. Quant à celles qui ne connaissent pas ce privilège, en général, elles (et leur partenaire) n'ont pas encore trouvé le moyen mécanique de leur faire atteindre le 7ème ciel. Mais cette anorgasmie peut également cacher un problème de santé et il est important de le dépister chez un spécialiste.
Avec qui en parler : ta gynéco ou un sexologue

4. Si tu as été abusée sexuellement
Ne garde surtout pas ce traumatisme pour toi. Et retiens que ce n’est pas de ta faute et que c’est toi la victime. Tu peux en parler à une amie pour commencer, elle pourra t’aider à aller porter plainte, une étape indispensable pour que les (mé)faits soient reconnus et que tu puisses ensuite te reconstruire, pourquoi pas en aidant aidée d'un psy.
Avec qui en parler : la police, un psy, une amie

5. Si tu saignes parfois, après un rapport
Si cela arrive une fois, après un rapport sexuel un peu «sauvage» et que le sang ne coule pas à flots, ce n’est pas la peine de consulter. Peut-être juste dire à ton partenaire d’y aller un peu plus mollo la prochaine fois. Mais si ces saignements se reproduisent souvent, mieux vaut prendre rendez-vous avec ton gynéco. Car les saignements après les rapports sexuels peuvent être le signe d’une infection ou de lésions. Il vaut donc mieux être prudente que gênée.
Avec qui en parler : le gynéco, ton partenaire

6. Si tu es harcelée sexuellement
Des petites remarques sexistes, des mains baladeuses, des propos insistants… Si tu es victime de harcèlement sexuel, il faut en parler. Sors-toi tout de suite de la tête que c’est de ta faute : aucun homme n’a à te prendre pour sa proie et à se comporter comme un chasseur. Prends tout de suite rendez-vous à la médecine du travail pour faire le point. Tu peux aussi, bien sûr, en parler à une amie.
Avec qui en parler : la médecine du travail
 

7. Si la pénétration te fait mal
Il n’y a pas de honte à avoir des douleurs lors de la pénétration, ce n’est pas le signe que tu es trop coincée ou que tu n’aimes pas ton partenaire. Il y a bien souvent des causes mécaniques à cette douleur : une légère inclinaison de l’utérus ou une sécheresse vaginale par exemple. Cela peut être un effet secondaire de la contraception. Parles-en à ta gynéco si tu tiens à avoir une vie sexuelle épanouie. Mais informe aussi ton partenaire que tu es particulièrement sensible…
Avec qui en parler : ton partenaire, ton gynéco

8. Si tu n’aimes pas le sexe
Bien sûr, si tu te sens à l’aise sur le sujet, tu peux l’aborder avec une bonne amie. Mais si c’est pour toi un défaut honteux, ce sera sans doute plus simple d’en discuter avec une personne neutre, moins proche, comme un psy (qui pourra t’aider à comprendre pourquoi) ou un gynéco (qui pourra aussi t’aiguiller pour apprendre à aimer ça, enfin, si tu le souhaites).
Avec qui en parler : ton gynéco, ton psy, ton partenaire, une amie…

9. Si tes règles ont du retard
Il y a plusieurs cas de figures mais tous t’amèneront à consulter ton gynéco. Si tu penses être enceinte, rien ne t’empêche (et c’est même conseillé) d’en parler avant tout à ton partenaire. Si ton aménorrhée n’a rien à voir avec une éventuelle grossesse, c’est peut-être le signe d’un déséquilibre hormonal ou d’une infection.
Avec qui en parler : ton partenaire, ta gynéco

10. Si tu remarques une odeur bizarre
Ce n’est certainement pas un problème d’hygiène et une odeur bizarre de l’urine ou des pertes vaginales sont plutôt, en général, le signe d’une infection. Donc exit la honte ou la pudeur et direction le médecin (généraliste ou gynéco). Fais-le sans tarder car une infection n’est jamais à prendre à la légère.
Avec qui en parler : ton généraliste ou ton gynéco


Jeudi 18 Septembre 2014 - 13:09





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